Crypto, Hebdo, Let’s Go
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Place à l’essentiel et voici ton recap de la semaine dernière, avec les plus grosses informations à ne (surtout) pas manquer !
Les Huges Actus : ce qu’il ne fallait pas louper cette semaine ! 🔥
Le Dogecoin prend son envol 📈
L’élection de Donald Trump a secoué le marché des cryptomonnaies. Le Bitcoin a même atteint un nouvel ATH depuis l’annonce des résultats. Mais, un autre acteur lui vole la vedette : le DOGE 🐶
Ce memecoin, soutenu par Elon Musk, connaît une ascension fulgurante et s’impose parmi les cryptos les plus performantes de ces derniers jours. À l’origine de cette hausse, la décision de Donald Trump de créer un département de l’efficacité gouvernementale, surnommé « DOGE »
À la tête de cette nouvelle institution, deux figures influentes : Elon Musk, soutien majeur de Donald Trump, et Vivek Ramaswamy, ancien rival de Trump lors des primaires républicaines.
Concrètement, ce département aura pour objectif de fournir des recommandations directes à la Maison-Blanche et au Bureau de la Gestion et du Budget. L’objectif est clair : réduire les dépenses inutiles, alléger les réglementations jugées excessives, et amorcer une modernisation des structures fédérales.
Notons quand même que cette tendance haussière s’est amorcée en anticipation de cette annonce, puisque le DOGE a vu son cours augmenter de 90 % sur les sept derniers jours.
Mais, les observateurs s’interrogent sur l’efficacité réelle de ce projet. Est-ce un coup de communication ingénieux ? Certains voient dans cette démarche une stratégie de Trump pour attirer un soutien institutionnel et capitaliser sur l’intérêt des jeunes investisseurs pour les cryptomonnaies.
En tout cas, que le département D.O.G.E réussisse ou échoue, l’initiative de Donald Trump et d’Elon Musk démontre la nouvelle envergure des cryptomonnaies dans la sphère politique 🤯
Source : Journal Du Coin
Polymarket bientôt interdit en France ? ❌
Polymarket se retrouve sous le feu des projecteurs en France. En effet, selon les informations de The Big Whale, l’Autorité nationale des jeux (ANJ) envisage de l’interdire, jugeant qu’elle opère en marge de la législation française.
En France, les jeux d’argent sont strictement encadrés. Ainsi, seules certaines activités comme le poker ou les paris hippiques sont autorisées. D’ailleurs, même pour pouvoir exercer cette activité, les opérateurs doivent obtenir un agrément de l’ANJ 🎰
Selon le régulateur français, Polymarket, avec son modèle décentralisé et l’absence de procédure KYC, fonctionne en dehors du cadre réglementaire traditionnel. En effet, la plateforme permet aux utilisateurs de parier avec des cryptomonnaies sans dévoiler leur identité.
Cette décentralisation rend complexe tout contrôle ou restriction de la part des autorités. En théorie, l’ANJ pourrait bloquer le nom de domaine de Polymarket, mais cette mesure reste imparfaite et offre des échappatoires pour les utilisateurs avertis 👀
Pour la petite histoire, l’attention de l’ANJ aurait été éveillée par les activités d’un parieur français surnommé “Théo”. Ce dernier a parié des dizaines de millions de dollars sur la victoire de Donald Trump lors des récentes élections américaines. Ainsi, grâce à son flair avisé, le parieur a pu gagner près de 60 millions de dollars.
Un chiffre qui fait rêver et qui illustre l’attrait de ces nouvelles plateformes pour des parieurs en quête de liberté et de gros gains. Mais, ce succès soulève des questions essentielles : peut-on vraiment encadrer des plateformes basées sur la blockchain ? La réponse est certainement oui 🥶
Désormais, un bras de fer pourrait bien s’ouvrir entre Polymarket et le régulateur français. Ou bien, l’entreprise pourrait tout simplement décider de quitter le territoire français sans batailler. Et, c’est en réalité la décision prise par de nombreuses entreprises ces dernières années.
En revanche, un élément pourrait aller dans le sens du régulateur français. Depuis la fin de l’élection présidentielle américaine, l’activité sur Polymarket a complètement chuté et a même été divisée par trois.
Sous couvert de protéger les consommateurs, il ne faudrait pas que la France en vienne à sacrifier sa compétitivité internationale 🤔
Source : The Big Whale
L’ETF Bitcoin de BlackRock dépasse celui de l’or 🏅
BlackRock semble avoir fait le pari du siècle avec son ETF Bitcoin au comptant. Depuis l’approbation des ETF Bitcoin au début de l’année 2024, la demande ne cesse d’augmenter, culminant le 7 novembre dernier avec un afflux record.
En une seule journée, le fonds iShares Bitcoin Trust (IBIT) de BlackRock a accueilli plus de 1,1 milliard de dollars d’entrées nettes, marquant la meilleure performance quotidienne du fonds depuis son lancement 🚀
Cette flambée est en partie due aux anticipations positives des investisseurs institutionnels, à présent nombreux à considérer Bitcoin comme une valeur refuge face aux incertitudes économiques.
Depuis janvier, les ETF Bitcoin ont accumulé près de 26 milliards de dollars d’entrées nettes, une preuve de l’attrait grandissant des grandes fortunes pour les cryptomonnaies 🤑
BlackRock se positionne en tête de ce marché en pleine expansion et distance assez largement Fidelity, dont l’ETF Bitcoin a enregistré « seulement » 191 millions de dollars de nouvelles entrées le 7 novembre.
Pour Larry Fink, le PDG de BlackRock, le succès de cet ETF est bien plus qu’un chiffre. Il représente un tournant dans la manière dont les investisseurs traditionnels perçoivent les actifs numériques 😏
Et, pour les observateurs de marché, c’est aussi un symbole de l’avenir prometteur des cryptos dans la finance.
L’optimisme est palpable. Des analystes influents, notamment de JPMorgan, estiment que le Bitcoin pourrait atteindre les 100 000 dollars dans les mois à venir 💸
Ce qui est sûr, c’est qu’avec les investisseurs institutionnels, BlackRock a ouvert la porte à un nouvel horizon, celui où le Bitcoin est une opportunité de croissance inédite et un placement d’avenir.
Merci BlackRock ? 😅
Source : CoinDesk
Coinbase lance l’indice Coin50 🪙
Coinbase innove avec le lancement du Coin50, un indice regroupant les 50 cryptos les plus capitalisées du marché. Cet indice est dominé par les leaders de l’écosystème : le Bitcoin représente 50 % de sa composition, suivi par Ethereum avec 28,8 %, Solana à 6,4 %, Ripple à 2,9 %, et Dogecoin à 1,4 %.
Les 45 autres cryptomonnaies, aux profils diversifiés, complètent les 10,4 % restants. La répartition de ces actifs sera réévaluée chaque trimestre pour s’adapter aux performances et aux dynamiques de marché 🔍
Fait notable, les stablecoins et les cryptos axées sur la confidentialité ont été volontairement exclues de cet indice. Avec cette sélection, l’objectif de Coinbase est de proposer un éventail représentatif des principaux secteurs du Web3 tout en conservant des actifs conformes aux attentes de régulation et de transparence.
Notons que cet indice a été développé en collaboration avec Market Vector Indexes, spécialiste mondialement reconnu dans le domaine des indices financiers 🤝
Pour trader le Coin50, les utilisateurs peuvent se rendre sur la plateforme Coinbase International Exchange, où cet indice est accessible sous forme de contrat perpétuel (COIN50-PERP).
Sans grande surprise, ce contrat n’est toutefois pas disponible pour les résidents américains 🇺🇸
Avec ce lancement, Coinbase se positionne en acteur de référence, proposant une solution permettant aux investisseurs de diversifier leur portefeuille en s’exposant aux cryptomonnaies les plus solides du marché.
Coinbase continue de s’affirmer comme un pionnier dans l’innovation et la gestion d’actifs numériques 👀
Source : Coinbase
C’est terminé ! 🥰
Merci de nous avoir lu, on se retrouve la semaine prochaine !
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